Tatiana de ROSNAY, "Elle s'appelait Sarah", 2007« Elle s’appelait Sarah » est un livre sur la mémoire, sur la volonté de ne pas oublier et sur le poids du passé qui est transféré d’une génération à l’autre.
L’histoire, très tragique d’une jeune enfant juive, Sarah, qui commence en 1942 avec la rafle du Vel d’Hiv et celle d’une journaliste américaine vivant à Paris en 2002, se rejoignent grâce à un enchaînement d’événements plus ou moins hasardeux. La journaliste part assez facilement à la découverte de cette histoire par un besoin de savoir ou par un besoin d’échapper à la réalité de son couple.
Dans la première partie du livre, les deux histoires s’entrecroisent. Vers la fin, l’histoire n’est plus racontée que du point de vue de la journaliste.
J’ai été gênée dès les premières pages par le décalage de goût et de « véridicité » des dialogues et des descriptions. L’auteur semble mieux maîtriser les chapitres dédiés à la journaliste que ceux dédiés à l’histoire de Sarah. Les pensées de la jeune fille de dix ans sont présentées de façon maladroite voire grossière. Tout s’améliore vers la fin, même si tout le long du livre j’ai continué à douter des prétextes de cette recherche...
L’histoire, très tragique d’une jeune enfant juive, Sarah, qui commence en 1942 avec la rafle du Vel d’Hiv et celle d’une journaliste américaine vivant à Paris en 2002, se rejoignent grâce à un enchaînement d’événements plus ou moins hasardeux. La journaliste part assez facilement à la découverte de cette histoire par un besoin de savoir ou par un besoin d’échapper à la réalité de son couple.
Dans la première partie du livre, les deux histoires s’entrecroisent. Vers la fin, l’histoire n’est plus racontée que du point de vue de la journaliste.
J’ai été gênée dès les premières pages par le décalage de goût et de « véridicité » des dialogues et des descriptions. L’auteur semble mieux maîtriser les chapitres dédiés à la journaliste que ceux dédiés à l’histoire de Sarah. Les pensées de la jeune fille de dix ans sont présentées de façon maladroite voire grossière. Tout s’améliore vers la fin, même si tout le long du livre j’ai continué à douter des prétextes de cette recherche...