John LE CARRÉ, "La Constance du jardinier", 2001L’enquête de Justin sur l’assassinat de sa femme, Tessa, mène à un rapport sur les « libertés » que les compagnies pharmaceutiques prennent dans les pays pauvres avec l’accord des leurs gouvernements corrompus et dictatoriaux. Il dénonce l’introduction d’un médicament, à peine testé, dans un pays dont les « bénéficiaires » sont trop confiants ou trop pauvres et effrayés pour parler.
Justin, employé de la Foreign Office à Nairobi, est initialement complètement en dehors des recherches de sa femme. Sa position est trop délicate pour s’impliquer dans une telle démarche. Il choisit pourtant de connaître la vérité sur la mort de sa femme et à cause de son enquête, il se retrouve décrédibilisé et traqué à travers l’Europe, le Canada et l’Afrique.
C’est un livre assez difficile à digérer qui parle à la fois du laisser-faire des pays riches, du faux humanitarisme et des dictatures militaires de l’Afrique.
Justin, employé de la Foreign Office à Nairobi, est initialement complètement en dehors des recherches de sa femme. Sa position est trop délicate pour s’impliquer dans une telle démarche. Il choisit pourtant de connaître la vérité sur la mort de sa femme et à cause de son enquête, il se retrouve décrédibilisé et traqué à travers l’Europe, le Canada et l’Afrique.
C’est un livre assez difficile à digérer qui parle à la fois du laisser-faire des pays riches, du faux humanitarisme et des dictatures militaires de l’Afrique.