
Troy BLACKLAWS, "Karoo boy", 2004
Blacklaws a une écriture très poétique d’autant plus qu’il s’agit d’une histoire d’adolescent, d’une histoire de deuil dans un milieu qui révolte, celui de l’apartheid en Afrique du Sud.
Douglas est « le jumeau pas mort » et son père finit par les quitter aussi. Il part donc avec sa mère dans le Karoo. Désormais, devenu fils unique, Douglas acquiert une grande responsabilité envers sa mère, car il devient sa raison de vivre…
Toute l’adolescence de Douglas va être traversée par des images et des flash-back de son frère et de son père, des petites histoires du quotidien qui viennent s’ajouter à sa vie présente. On avance dans le temps sans s’en rendre compte et les événements violents sont décrits avec la même douceur que ceux heureux. Cela nous donne une impression de plat et un regard d’en haut sur la vie de Douglas.
Douglas est « le jumeau pas mort » et son père finit par les quitter aussi. Il part donc avec sa mère dans le Karoo. Désormais, devenu fils unique, Douglas acquiert une grande responsabilité envers sa mère, car il devient sa raison de vivre…
Toute l’adolescence de Douglas va être traversée par des images et des flash-back de son frère et de son père, des petites histoires du quotidien qui viennent s’ajouter à sa vie présente. On avance dans le temps sans s’en rendre compte et les événements violents sont décrits avec la même douceur que ceux heureux. Cela nous donne une impression de plat et un regard d’en haut sur la vie de Douglas.