C'est une BD (le premier tome pour l'instant) sur la politique et sur ce qui se passe derrière les rideaux, plus précisément dans le cabinet d'un ministre des affaires étrangères. Il s'agit bien d'un théâtre, le jeu des acteurs étant éblouissant surtout grâce à leur capacité d'improvisation. Les improvisations ne manquent pas d'humour et d'intelligence. Et puis dans toute action politique, la question du langage et du discours est primordiale. L'histoire de la BD est donc celle d'une jeune recrue dans le cabinet du ministre qui a le rôle de l'écriture des discours.
Apparemment, le scénariste de cette BD a déjà une expérience en tant que membre de plusieurs cabinets ministériels (information trouvée sur internet...). L'histoire sent d'ailleurs très fort le vécu, le réel ; et puis, c'est tellement tordu toutes ces relations et façons de faire, qu'on a du mal à croire que cela puisse s'inventer sans connaissance des faits.
Ce que j'aime aussi dans cette histoire c'est l'attention que l'auteur porte sur la fascination qu'on peut « acquérir » pour un politicien et pour sa position dominante.
C'est une très bonne histoire, mais il ne faut pas oublier que le scénariste travaille sur cette BD avec le très doué Christophe Blain, qui donne beaucoup de rythme et de mouvement à l'histoire, par son trait un peu nerveux, lâché et caricatural.
Apparemment, le scénariste de cette BD a déjà une expérience en tant que membre de plusieurs cabinets ministériels (information trouvée sur internet...). L'histoire sent d'ailleurs très fort le vécu, le réel ; et puis, c'est tellement tordu toutes ces relations et façons de faire, qu'on a du mal à croire que cela puisse s'inventer sans connaissance des faits.
Ce que j'aime aussi dans cette histoire c'est l'attention que l'auteur porte sur la fascination qu'on peut « acquérir » pour un politicien et pour sa position dominante.
C'est une très bonne histoire, mais il ne faut pas oublier que le scénariste travaille sur cette BD avec le très doué Christophe Blain, qui donne beaucoup de rythme et de mouvement à l'histoire, par son trait un peu nerveux, lâché et caricatural.
